Backlog

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Backlog : liste priorisée des fonctionnalités et tâches à développer dans un projet. Outil essentiel de gestion de projet agile en développement web et no-code.

Backlog : liste priorisée des fonctionnalités et tâches à développer dans un projet. Outil essentiel de gestion de projet agile en développement web et no-code.

Thomas Couderq

Thomas Couderq

Thomas Couderq

Co-Fondateur - Staak

Dans cet article

🔄 Recherche des titres...
(Vérifiez que les types de titres sont activés)

Définition simple

Le backlog est une liste priorisée de toutes les fonctionnalités, améliorations et corrections à développer dans un projet. C'est votre feuille de route : tout ce qui doit être fait, classé par ordre d'importance.

Imaginez une to-do list intelligente pour votre projet. Chaque élément du backlog (appelé "user story" ou "tâche") décrit une fonctionnalité à créer ou un problème à résoudre. Les éléments les plus importants sont en haut, les moins prioritaires en bas.

Pourquoi c'est important

Le backlog est l'outil central de gestion de projet en méthode agile. Il permet de garder une vision claire de ce qui doit être développé, sans se perdre dans les détails.

Plutôt que de tout planifier pendant des mois, le backlog évolue en continu. Vous ajoutez de nouvelles idées, vous répriorisez selon les retours utilisateurs, vous ajustez en fonction des contraintes business. Cette flexibilité est cruciale pour rester aligné avec les besoins réels.

Un backlog bien géré évite la dispersion. Votre équipe sait toujours sur quoi travailler en priorité. Les parties prenantes peuvent suivre l'avancement et comprendre ce qui sera développé ensuite. C'est un outil de transparence et d'alignement.

En pratique dans le no-code

Dans un projet no-code, le backlog fonctionne exactement comme en développement traditionnel. Que vous construisiez une application Bubble, automatisiez des workflows avec Make, ou créiez un site Framer, vous avez besoin d'un backlog.

Les outils comme Notion, Trello ou Asana permettent de gérer facilement votre backlog. Vous créez une colonne "Backlog" avec toutes vos idées, une colonne "En cours" pour le sprint actuel, et une colonne "Terminé" pour suivre votre progression.

Chez Staak, nous utilisons un backlog pour chaque projet client. Exemple concret : pour une application de gestion de rendez-vous, le backlog pourrait contenir "Système de réservation en ligne", "Envoi de rappels par email", "Tableau de bord admin", "Paiement en ligne". On priorise ensemble avec le client, et on développe sprint par sprint.

Le no-code accélère considérablement l'exécution du backlog. Ce qui prendrait des semaines en code traditionnel se fait en quelques jours. Vous pouvez tester rapidement, recueillir des retours, et ajuster votre backlog en conséquence.

FAQ : Questions fréquentes sur le backlog

Quelle est la différence entre backlog produit et backlog de sprint ?

Le backlog produit contient toutes les fonctionnalités à développer sur le long terme. Le backlog de sprint est un sous-ensemble : les tâches sélectionnées pour les 1-2 prochaines semaines de travail. On puise dans le backlog produit pour alimenter chaque sprint.

Comment prioriser les éléments de son backlog ?

Utilisez la méthode MoSCoW : Must have (indispensable), Should have (important), Could have (souhaitable), Won't have (reporté). Priorisez d'abord ce qui apporte le plus de valeur business avec le moins d'effort. L'impact utilisateur doit guider vos choix.

Peut-on gérer un backlog sans être développeur ?

Absolument. Le backlog est un outil de gestion de projet, pas un outil technique. En tant que chef de projet ou entrepreneur, vous définissez les fonctionnalités en langage clair. Votre équipe technique (ou votre agence no-code) se charge de l'implémentation.

À quelle fréquence faut-il mettre à jour son backlog ?

Le backlog est vivant : ajoutez des idées dès qu'elles émergent, répriorisez chaque semaine ou avant chaque sprint. Faites un nettoyage mensuel pour retirer les éléments obsolètes. L'important est de garder le backlog aligné avec votre stratégie actuelle.

Combien d'éléments doit contenir un backlog ?

Il n'y a pas de limite, mais gardez votre backlog gérable. Concentrez-vous sur les 20-30 prochaines fonctionnalités prioritaires avec des descriptions détaillées. Les idées plus lointaines peuvent rester sous forme de notes succinctes jusqu'à ce qu'elles deviennent prioritaires.

Thomas Couderq

Co-Fondateur - Staak

Expert en design UI/UX et stratégie d'expérience utilisateur. Fort de 5 ans d'expertise Bubble, Thomas a fondé Nocodable-components.com, une librairie UI adoptée par plus de 4000 développeurs. Il conçoit des interfaces intuitives et performantes qui transforment l'expérience de vos utilisateurs.

Travailler avec Staak

Besoin d'un expert No-Code ? Staak vous accompagne dans vos projet. L'appel d'audit est gratuit !

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Le backlog est une liste priorisée de toutes les fonctionnalités, améliorations et corrections à développer dans un projet. C'est votre feuille de route : tout ce qui doit être fait, classé par ordre d'importance.

Imaginez une to-do list intelligente pour votre projet. Chaque élément du backlog (appelé "user story" ou "tâche") décrit une fonctionnalité à créer ou un problème à résoudre. Les éléments les plus importants sont en haut, les moins prioritaires en bas.

Pourquoi c'est important

Le backlog est l'outil central de gestion de projet en méthode agile. Il permet de garder une vision claire de ce qui doit être développé, sans se perdre dans les détails.

Plutôt que de tout planifier pendant des mois, le backlog évolue en continu. Vous ajoutez de nouvelles idées, vous répriorisez selon les retours utilisateurs, vous ajustez en fonction des contraintes business. Cette flexibilité est cruciale pour rester aligné avec les besoins réels.

Un backlog bien géré évite la dispersion. Votre équipe sait toujours sur quoi travailler en priorité. Les parties prenantes peuvent suivre l'avancement et comprendre ce qui sera développé ensuite. C'est un outil de transparence et d'alignement.

En pratique dans le no-code

Dans un projet no-code, le backlog fonctionne exactement comme en développement traditionnel. Que vous construisiez une application Bubble, automatisiez des workflows avec Make, ou créiez un site Framer, vous avez besoin d'un backlog.

Les outils comme Notion, Trello ou Asana permettent de gérer facilement votre backlog. Vous créez une colonne "Backlog" avec toutes vos idées, une colonne "En cours" pour le sprint actuel, et une colonne "Terminé" pour suivre votre progression.

Chez Staak, nous utilisons un backlog pour chaque projet client. Exemple concret : pour une application de gestion de rendez-vous, le backlog pourrait contenir "Système de réservation en ligne", "Envoi de rappels par email", "Tableau de bord admin", "Paiement en ligne". On priorise ensemble avec le client, et on développe sprint par sprint.

Le no-code accélère considérablement l'exécution du backlog. Ce qui prendrait des semaines en code traditionnel se fait en quelques jours. Vous pouvez tester rapidement, recueillir des retours, et ajuster votre backlog en conséquence.

FAQ : Questions fréquentes sur le backlog

Quelle est la différence entre backlog produit et backlog de sprint ?

Le backlog produit contient toutes les fonctionnalités à développer sur le long terme. Le backlog de sprint est un sous-ensemble : les tâches sélectionnées pour les 1-2 prochaines semaines de travail. On puise dans le backlog produit pour alimenter chaque sprint.

Comment prioriser les éléments de son backlog ?

Utilisez la méthode MoSCoW : Must have (indispensable), Should have (important), Could have (souhaitable), Won't have (reporté). Priorisez d'abord ce qui apporte le plus de valeur business avec le moins d'effort. L'impact utilisateur doit guider vos choix.

Peut-on gérer un backlog sans être développeur ?

Absolument. Le backlog est un outil de gestion de projet, pas un outil technique. En tant que chef de projet ou entrepreneur, vous définissez les fonctionnalités en langage clair. Votre équipe technique (ou votre agence no-code) se charge de l'implémentation.

À quelle fréquence faut-il mettre à jour son backlog ?

Le backlog est vivant : ajoutez des idées dès qu'elles émergent, répriorisez chaque semaine ou avant chaque sprint. Faites un nettoyage mensuel pour retirer les éléments obsolètes. L'important est de garder le backlog aligné avec votre stratégie actuelle.

Combien d'éléments doit contenir un backlog ?

Il n'y a pas de limite, mais gardez votre backlog gérable. Concentrez-vous sur les 20-30 prochaines fonctionnalités prioritaires avec des descriptions détaillées. Les idées plus lointaines peuvent rester sous forme de notes succinctes jusqu'à ce qu'elles deviennent prioritaires.

Thomas Couderq

Co-Fondateur - Staak

Expert en design UI/UX et stratégie d'expérience utilisateur. Fort de 5 ans d'expertise Bubble, Thomas a fondé Nocodable-components.com, une librairie UI adoptée par plus de 4000 développeurs. Il conçoit des interfaces intuitives et performantes qui transforment l'expérience de vos utilisateurs.

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Le backlog est une liste priorisée de toutes les fonctionnalités, améliorations et corrections à développer dans un projet. C'est votre feuille de route : tout ce qui doit être fait, classé par ordre d'importance.

Imaginez une to-do list intelligente pour votre projet. Chaque élément du backlog (appelé "user story" ou "tâche") décrit une fonctionnalité à créer ou un problème à résoudre. Les éléments les plus importants sont en haut, les moins prioritaires en bas.

Pourquoi c'est important

Le backlog est l'outil central de gestion de projet en méthode agile. Il permet de garder une vision claire de ce qui doit être développé, sans se perdre dans les détails.

Plutôt que de tout planifier pendant des mois, le backlog évolue en continu. Vous ajoutez de nouvelles idées, vous répriorisez selon les retours utilisateurs, vous ajustez en fonction des contraintes business. Cette flexibilité est cruciale pour rester aligné avec les besoins réels.

Un backlog bien géré évite la dispersion. Votre équipe sait toujours sur quoi travailler en priorité. Les parties prenantes peuvent suivre l'avancement et comprendre ce qui sera développé ensuite. C'est un outil de transparence et d'alignement.

En pratique dans le no-code

Dans un projet no-code, le backlog fonctionne exactement comme en développement traditionnel. Que vous construisiez une application Bubble, automatisiez des workflows avec Make, ou créiez un site Framer, vous avez besoin d'un backlog.

Les outils comme Notion, Trello ou Asana permettent de gérer facilement votre backlog. Vous créez une colonne "Backlog" avec toutes vos idées, une colonne "En cours" pour le sprint actuel, et une colonne "Terminé" pour suivre votre progression.

Chez Staak, nous utilisons un backlog pour chaque projet client. Exemple concret : pour une application de gestion de rendez-vous, le backlog pourrait contenir "Système de réservation en ligne", "Envoi de rappels par email", "Tableau de bord admin", "Paiement en ligne". On priorise ensemble avec le client, et on développe sprint par sprint.

Le no-code accélère considérablement l'exécution du backlog. Ce qui prendrait des semaines en code traditionnel se fait en quelques jours. Vous pouvez tester rapidement, recueillir des retours, et ajuster votre backlog en conséquence.

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Quelle est la différence entre backlog produit et backlog de sprint ?

Le backlog produit contient toutes les fonctionnalités à développer sur le long terme. Le backlog de sprint est un sous-ensemble : les tâches sélectionnées pour les 1-2 prochaines semaines de travail. On puise dans le backlog produit pour alimenter chaque sprint.

Comment prioriser les éléments de son backlog ?

Utilisez la méthode MoSCoW : Must have (indispensable), Should have (important), Could have (souhaitable), Won't have (reporté). Priorisez d'abord ce qui apporte le plus de valeur business avec le moins d'effort. L'impact utilisateur doit guider vos choix.

Peut-on gérer un backlog sans être développeur ?

Absolument. Le backlog est un outil de gestion de projet, pas un outil technique. En tant que chef de projet ou entrepreneur, vous définissez les fonctionnalités en langage clair. Votre équipe technique (ou votre agence no-code) se charge de l'implémentation.

À quelle fréquence faut-il mettre à jour son backlog ?

Le backlog est vivant : ajoutez des idées dès qu'elles émergent, répriorisez chaque semaine ou avant chaque sprint. Faites un nettoyage mensuel pour retirer les éléments obsolètes. L'important est de garder le backlog aligné avec votre stratégie actuelle.

Combien d'éléments doit contenir un backlog ?

Il n'y a pas de limite, mais gardez votre backlog gérable. Concentrez-vous sur les 20-30 prochaines fonctionnalités prioritaires avec des descriptions détaillées. Les idées plus lointaines peuvent rester sous forme de notes succinctes jusqu'à ce qu'elles deviennent prioritaires.

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